Autobiographie Sidi Cheikh Abdelkader Ben Mohamed .                

Le connaisseur de dieu, Le savant vénérable saint, l’unique incomparable, imam de soufisme, de race « Douha Elbakaria », le patron des saints.

Sidi Cheikh Abou Abdellah Abdelkader Ben Sidi Mohamed Ben Sidi Slimane Ben Abi Samaha Ben Abi Leila Ben Aissa Abi Elhaiae Ben Maamar Ben slimane Abi Elalia Ben Saîd Ben Akil Ben Hafs Horma Allah Ben Assakir Ben Zaid Ben Hamid Ben Aissa Eltadli Ben Mohamed Elchabli ben Aissa ben Zaid ben Yazid ben Eltafil Elzaghaoui ben Abdellah ben Mohamed ben Anderrahmane ben Elssahibi Eldjalil Elkhalifa Elrrachidi Elawal Sidna Abi Bakr Elssedik que dieu soit satisfait de lui .  

Sidi Cheikh est né l’an 940 H – 1533 à Chellala Eldahrania, demeurant à Alger, sa mère nommé madame Chafiria bent Elcharif le vénérable saint Sidi Ali ben Said que dieu lui accordent sa miséricorde et qu’ils reposent dans son grand paradis . 

Dés son jeune âge, il a appris le coran et étudié les sciences islamiques sous l’autorité de plusieurs cheikhs dont le saint Sidi El Hadj ben Amer,  Sidi Abdeldjabar, et Sidi Moussa Elhassan Elkazazi  … Il était toujours accompagné de son père pour rendre visite à son cheikh Sidi Mohamed ben Abdeldjabar Elfiguigui.

Il raconta qu’une fois le Cheikh Sidi Ahmed ben Youcef Elmiliani que dieu lui accorde sa miséricorde et qu’il repose dans son grand paradis  a dit à son élève Sidi Slimane ben Bousamaha, tu deviendras une lumière qui donnera des autres lumières qui illumineront toute la terre .

La première lumière c’était son père, le vénérable saint Sidi Mohamed ben Slimane,  et à propos de la lumière qui va illuminé toute la terre, c’était le traducteur que dieu lui accorde sa miséricorde et qu’il repose dans son grand paradis.

Voir le livre « TARIQA EL CHEIKHIYYA  FI MIZAN ESSUNA » d’après Cheikh Ahmed Ben Othmane que dieu le préserve.

Il a appris « TARIKA ELCHADILIA » Cheikh Sidi Mohamed ben Abderrahmane Elsahli, ou il reçu toutes les connaissances littéraires, prouvés par divers examens, il a hérité de son cheikh toutes les bonnes choses de la vie : la science, le savoir, les secrets.

Le cheikh adressa la parole à son élève : «  si tu veux l’obscurité, le déshonneur Viens avec moi chez moi, mais si tu veux la gloire et le trésor, le prestige sort de Figuig maintenant »

Figuig : ville au Maroc.

Il accepta en dernier l’offre proposée par son cheikh.

1)     Résider à Figuig ou il construit une Zaouia,  Son Cheikh Sidi Mohamed ben Abderrahmane Elsahli  décédé en 990 de l’hégire et fut enterré au vieux palais à Elsahli Que dieu nous donne de sa bienfaisance, ou il fut reconnu de l’est à l’ouest .

Certains savants de Figuig  l’ont toujours contrarié dans ses analyses, afin de porter atteinte à sa personnalité, surtout Ibn Abi Mahali jusqu’à sa mort ou Il fut tué en 1022H-1613 par Yahia Ben Abdellah Elhahi Elsouci                                                             
                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 
aux portes de Marrakech lors d’une bataille .

C’est pour cela que Sidi Cheikh écrira un poème pour répondre à ses adversaires, ou il récita son expérience sufisme conformément au Coran et à la Sonna, et aux chouyoukhs de « la Tarika Elchadilia » fit preuve de sa grandeur et de toutes ses qualités humanitaires : générosité, prière, sciences, savoir.

Cette information existe dans la page des trois qui ont essayé de le tuer, malgré sa générosité et sa bonté il leur donna 400 dirhams lors de leur voyage.

Il aimait tous les gens de la maison, les aidaient de son argent pour satisfaire tous leurs besoins, il réglait tous les conflits et leurs malentendus, il montait toujours le droit chemin, ses actes lui en seront témoins c’est pour cela qu’on le surnommé le Kadi du Sahara, Sidi Abdelkader Ben Mohamed Sidi Cheikh, ou ses petits fils furent nommèrent les « Ouled Sidi Cheikh ».

Tout cela à cause de :

Une ancienne élève du Cheikh, un jour son fils tomba, elle cria au nom du Cheikh : Ya Kader Ya Abdelkader puis elle vut deux vieux portant le nom « Abdelkader » pour sauver son fils.

L’un des deux posa sa main sur l’eau avant que le fils se noie, l’autre le retire du haut, une fois le fils sauvé le Cheikh dit à l’autre : différenciez votre nom du mien Ya Cheikh ? Sidi Abdelkader Ben Mohamed a répondu : à partir d’aujourd’hui je porterai ce nom qui m’honore « Cheikh »

Après tout cela on comprend les paroles du Cheikh, dans sa parlotte, ma présence sera toujours devant vous dans vos difficultés.

Il a lutté avec son stylo, sa langue, son argent, son épée.

Voir le livre « El Manakib » lors de son combat avec les espagnoles à Oran. D’après certaines sources il combattit aussi en Tunisie, au Maroc et en Algérie.